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Hébertville : Plusieurs citoyens sans eau potable seront branchés

Le 04 octobre 2019 — Modifié à 15 h 12 min le 04 octobre 2019
Par William Fradette

Le maire d’Hébertville, Marc Richard, n’a pas caché qu’en 2019, avoir des résidences à court d’eau potable constitue une situation très particulière. Une solution sera trouvée pour les citoyens touchés.

Au moins 24 résidences d’Hébertville éprouvent de graves problèmes d’eau potable depuis un certain temps. Selon le maire Marc Richard, les puits seraient en train de s’épuiser dans les rangs Saint-Isodore et Saint-André. Certaines maisons en seraient rendues à prendre l’eau de surface.

« En 2019, ne pas avoir d’eau potable, c’est particulier », a dit l’élu. Il confirme que dans ce dossier, le conseil municipal s’est positionné pour que ce secteur soit couvert par les infrastructures de la municipalité.

« On a la volonté politique d’aller de l’avant »

Les résidences qui en ont fait la demande seront branchées à un réseau d’eau, c’est du moins la volonté du maire. Déjà, il affirme que l’entente du réseau d’eau Beau-Portage avec Saint-Bruno et Larouche s’appliquera sans pénalités.

Cependant, le maire s’est abstenu de fournir un échéancier précis pour le branchement. Chose certaine, on voudrait en arriver à une conclusion en 2020. Le projet sera dispendieux : 1,5 M$ seront nécessaires pour réaliser le branchement.

Une partie serait financée avec le Programme de la taxe sur l’essence et de la contribution du Québec sur l’essence (TECQ), mais l’autre le sera inévitablement par un règlement d’emprunt.

Montage financier de la caserne

En septembre, une étape importante a été franchie dans le dossier de la caserne. Plus de 315 hébertvillois ont signé le registre des citoyens afin d’accepter le règlement d’emprunt, ce qui signifie que celui-ci sera approuvé par le ministère des Affaires municipales. Seulement une personne s’est opposée.

Mont Lac-Vert

Questionné sur la situation de la station de ski, Marc Richard a confirmé qu’une consolidation aurait lieu éventuellement. Ne cachant pas que les installations devront être évaluées, il désire toutefois impliquer les citoyens directement, dans les prochaines semaines.

« On veut d’abord informer les citoyens sur les opérations, sur les immobilisations et ensuite on regardera ce qu’on doit moderniser, comme toutes les stations qui ont entre 30 et 40 ans », a-t-il déclaré.

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