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La présidente Lucie Munger déplore les attaques à son endroit

Le 30 janvier 2015 — Modifié à 00 h 00 min le 30 janvier 2015
Par Karine Desrosiers

La présidente Lucie Munger déplore les attaques à son endroit

CONTESTATION. Lucie Munger, présidente du conseil d'administration du Collège d'Alma, qualifie de « campagne de salissage initiée en dehors de toute association organisée » le dévoilement d'une pétition de certains élèves du Collège d’Alma réclamant sa démission.

Dans un communiqué de presse émis en fin de journée de jeudi, la présidente Munger commente les événements des derniers jours.

Elle rappelle notamment que toutes les décisions prises par le conseil d’administration sous sa présidence ont visé l’amélioration et le maintien des services aux élèves dans un contexte financier extrêmement difficile qui crée des tensions.

Aux yeux de Lucie Munger, ce ne sont pas les gestes et les décisions prises qui sont les plus dommageables, mais bien les sorties médiatiques qui ne visent qu’à discréditer des membres bénévoles du conseil, des gestionnaires ou, pire encore, l’organisation elle-même.

« Je déplore fortement ce genre d’action. J’invite les élèves à prendre connaissance des procédures associatives et à faire valoir leurs opinions dans les instances correspondantes, selon les règles établies. Et surtout, je leur demande de mettre fin à ces attaques personnelles qui discréditent l’ensemble des membres du conseil d’administration », lance la présidente.

Lucie Munger estime que de telles actions médiatiques n’améliorent en rien la situation et risquent plutôt de dégénérer et de nuire à la participation d’individus qui voudraient s’impliquer dans l’administration de l’établissement.

Outre les impacts sur l’image du Collège, la présidente du conseil d’administration croit que cette action porte ombrage non seulement aux dirigeants, mais à tout le personnel de l’établissement.

« C’est dommage, puisque nous reconnaissons tous l’importance de notre mission éducative et la qualité du travail accompli par le personnel », de conclure Lucie Munger.

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