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Soli-Can et le Havre du Lac St-Jean veulent du personnel mobile

Le 03 février 2019 — Modifié à 12 h 43 min le 03 février 2019
Par Isabelle Tremblay

Soli-Can Lac-Saint-Jean Est et le Havre du Lac St-Jean se tournent vers la mobilité du personnel pour pallier le manque de personnel. Les futures ressources qui seront engagées dans l’une ou l’autre des résidences pourront travailler aux deux endroits.

« Lors de nos prochaines embauches, nous allons proposer aux candidats de travailler chez nous, mais aussi au Havre. C’est une avenue intéressante pour les nouveaux employés pour lesquels nous ne sommes pas en mesure d’offrir une stabilité d’emploi », mentionne Marie-Lyne Fortin, directrice générale de Soli-Can.

Les gestionnaires des quatre maisons en soins palliatifs de la région ont abordé la problématique entourant les difficultés de recrutement. Les résidences d’Alma et de Roberval ont convenu d’expérimenter cette possibilité.

Bien qu’elle ne soit pas critique, la situation actuelle est extrêmement fragile chez Soli-Can.

« Si des employés ne sont pas en mesure de rentrer travailler, nous sommes toujours à risque de nous retrouver avec du personnel insuffisant pour desservir la clientèle, » mentionne Mme Fortin.

Équipe

Quatre infirmières, huit infirmières auxiliaires et six préposées aux soins travaillent chez Soli-Can. Le profil de ces personnes est un autre défi lié à l’embauche.

« C’est très différent du milieu hospitalier. Ça prend des gens avec un bon sens de l’écoute et qui sont en mesure d’accompagner les personnes en fin de vie. Le volet humain est très important, » termine Marie-Lyne Fortin.

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