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Villes d’Alma et ses cols blancs et bleus renouvèlent le contrat de travail dans l’harmonie

Le 16 janvier 2012 — Modifié à 00 h 00 min le 16 janvier 2012
Par Karine Desrosiers

Pour une troisième fois consécutive, les quelque 150 cols blancs et bleus de Ville d’Alma renouvèlent la convention collective de travail dans l’harmonie la plus complète. D’une durée de cinq ans, soit du 15 octobre 2011 au 14 octobre 2016, ce contrat prévoit des augmentations annuelles de quelque 2,5 % ainsi que des améliorations au régime de retraite pour mieux se protéger en fonction de l’avenir.

Ce lundi, à la salle du conseil de l’hôtel de ville, les représentants de Ville d’Alma et ceux du Syndicat canadien de la fonction publique section locale 2541 ont procédé à la suite à la signature officielle des textes de la nouvelle convention collective.

« Le conseil municipal est très satisfait d’avoir une entente d’une durée de cinq ans avec les employé(e)s cols blancs et cols bleus. Celle-ci a été conclue après seulement sept séances de négociation ce qui reflète bien le climat de collaboration qui règne entre les autorités municipales et le personnel syndiqué. Le travail des fonctionnaires dans notre communauté est essentiel et c’est grâce à celui-ci que la Ville d’Alma est reconnue pour l’excellence de son service aux citoyens », a notamment commenté le maire Marc Asselin.

Son vis-à-vis syndical, Robin Côté, président du Syndicat des employé(e)s municipaux, aborde dans le même sens: « La négociation s’est déroulée à bon train au cours des derniers mois et dans une atmosphère que le syndicat qualifie de cordiale, franche, respectueuse et intimement liée aux diverses problématiques vécues lors des dernières années. Du côté salarial, le syndicat est fier d’avoir convenu d’une entente assurant un bon maintien du pouvoir d’achat des employés face à l’indice des prix à la consommation pour les cinq années du prochain contrat de travail.»

Cette nouvelle convention comprend notamment des augmentations salariales annuelles de l’ordre de 2,5 % liées à la croissance de l’indice des prix à la consommation pour un maximum de 3 % de même qu’une entente pour limiter les augmentations futures du coût du régime de retraite.

Ce dernier point a été plus difficile à négocier, mais les parties en sont venues à une entente à l’amiable sur le partage des coûts de cette protection.

Questionné sur la bonne entente entre la ville et le syndicat, le maire Marc Asselin a souligné l’ouverture d’esprit de la partie syndicale en rapport avec la capacité de payer des contribuables et l’importance d’assurer la qualité des services aux citoyens.

D’ailleurs, il existe un Comité de relations de travail permanent qui permet de discuter des dossiers en enjeux, en cours de convention collective et d’aplanir au fur et à mesure les difficultés.

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