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En route vers les Olympiques : Foresco Holding appuie financièrement Léandre Bouchard

Janick Émond
Le 30 mars 2021 — Modifié à 12 h 53 min le 30 mars 2021
Par Janick Émond - Journaliste

L’entreprise forestière régionale, Foresco Holding, s’associe au cycliste almatois Léandre Bouchard pour le supporter financièrement dans son parcours vers les Jeux olympiques.

L’entente entre les deux partis est d’une durée de quatre ans, ce qui couvre deux cycles olympiques.

« Léandre est un jeune homme qui performe en vélo de montagne et qui vise à participer aux deux prochains Jeux olympiques qui se dérouleront à Tokyo à l'été 2021 et à Paris à l'été 2024. Pour atteindre un objectif aussi ambitieux, les athlètes ont besoin de support financier afin de leur permettre de participer à plusieurs compétitions internationales pour se qualifier », mentionne le propriétaire de Foresco Holding, Steeve Hobbs.

« Ses deux prochaines compétitions d'importance se dérouleront respectivement en Allemagne et en République Tchèque, en mai prochain. Léandre doit se classer parmi les 6 premières places dans l'une ou l'autre de ces deux compétitions afin d'obtenir son laissez-passer pour les jeux de Tokyo. Je suis confiant qu'il y parviendra, car Léandre est extrêmement doué, déterminé et discipliné », précise le propriétaire de Foresco Holding.

Depuis un an, Léandre Bouchard a décidé de se consacrer à 100 % au vélo de montagne sur la scène internationale et de mettre sur la glace sa carrière d'enseignant en éducation physique.

Le montant que touchera Léandre Bouchard au cours des quatre prochaines années n'a pas été dévoilé. Pour Foresco Holding, ce n'est pas le montant qui est important, mais plutôt de s'assurer que Léandre sera bien entouré au cours des quatre prochaines années.

« Pendant les 4 prochaines années, Léandre va pouvoir compter sur notre appui inconditionnel. Nous sommes fiers de nous joindre à ses partenaires actuels et nous allons tout faire pour lui donner le support dont il a besoin, tant sur le plan financier, technique qu'humain », mentionne Steeve Hobbs en conclusion.

 

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