Chez la famille Munger d’Alma, c’est la passion pour le soccer qui est très contagieuse. Après avoir été initiés à ce sport lors de leur passage à l’école secondaire, Carl Munger et sa conjointe Marie-France Villeneuve ont transmis leur passion du ballon rond à leurs trois filles.
« Nos filles ont toutes commencé à jouer au soccer à l’âge de quatre ans. C’est certain que comme Carl et moi on est passionné par ce sport, c’est nous qui les avons amenées à pratiquer le soccer. Encore aujourd’hui, elles sont de vraies mordues », raconte la mère de famille, Marie-France.
L’ainée de la famille, Sara-Maude, a d’ailleurs étudié en sport-études lors de son passage au secondaire, en plus d’être la gardienne de but lors de son passage au niveau collégial pour les Jeannois du Collège d’Alma. À l’âge de 13 ans, Sara-Maude complétait sa formation d’arbitre. Lors de ses années collégiales, elle a œuvré également comme arbitre au niveau AA.
« Depuis plusieurs années, elle fait du bénévolat auprès du Club Boréal d’Alma. D’ailleurs, l’été passé, elle a été engagée par le club. »
Le deuxième enfant de la famille, Camille, a suivi les pas de sa grande sœur. À l’âge de 10 ans, elle est aussi devenue gardienne de but et elle étudie en sport-études. En plus d’entrainer chez les jeunes u4 et u5, elle est entraineuse adjointe de Marc-Antoine Dionne lors des formations pour gardiens de but débutants.
La plus jeune, Mireille, a évolué comme joueuse au niveau A dans les catégories u9, u10 et u11. Elle songe maintenant à suivre la voie tracée par ses grandes sœurs et à se diriger vers la position de gardienne de but.
« Être maman de gardiennes, c’est plus stressant c’est sûr ! Les erreurs à cette position sont plus couteuses, donc on est souvent au bout de notre siège. »
Maman et papa ont aussi continué de s’impliquer dans les équipes de leurs filles. Carl a été entraineur à quelques occasions, alors que Marie-France a été entraineuse et gérante.
Plus que le sport
« Le soccer, c’est plus que le sport, il y a aussi tout un côté relationnel. Les filles se font pleins d’amies grâce à ça. »
Le soccer a également permis à la famille d’accumuler de nombreux souvenirs au fils des ans.
« Tous les voyages pour des tournois, les fins de semaine en camping, c’est certain que ça nous rapproche et nous fait passer de beaux moments. »
Encore aujourd’hui, chez la famille Munger, c’est près de 50 heures cumulées par semaine qui sont consacrées au soccer. Ajoutons à cela que la famille regarde tous les matchs de l’Impact ensemble, reculant même la partie pour revoir les plus beaux arrêts.