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Le Groupe Lokia célèbre ses 15 ans

Le 06 octobre 2017 — Modifié à 08 h 46 min le 06 octobre 2017
Par Karine Desrosiers

Depuis maintenant quinze ans, le Groupe Lokia occupe une place des plus importantes dans le domaine des résidences pour aînés et des immeubles locatifs. Avec dix résidences pour personnes âgées et plus de 450 employés, répartis dans deux provinces, soit au Québec et au Nouveau-Brunswick, l’entreprise almatoise vie une croissance importante.

En 2002, alors que monsieur Dany Chassé, directeur général et associé, et Dr Guy Tremblay, se sont d’abord lancés dans la gestion d’immeubles à logements, ils ont eu l'opportunité en 2006 d'acquérir le Domaine des Aînés d'Alma.

« C'était notre première résidence et j'ai compté sur le support de monsieur Gérald Simard, un mentor, pour jeter les bases d'un grand réseau », se souvient avec reconnaissance monsieur Chassé. Sans oublier, Me France Tremblay, avocate du Groupe LOKIA, présente dès les tout débuts.

« C’est là qu’on est tombé en amour avec le domaine des résidences. Avec Guy comme partenaire, qui est médecin, nous étions lancés dans une grande aventure », a souligné M. Chassé. En 2007, Norbert

Maltais, originaire du Nouveau-Brunswick, devient un nouvel associé et permet de faire croître le réseau, qui après l’achat du Pavillon des Mille Fleurs à L’Ancienne-Lorette, se positionne dès 2008 à

Bathurst et en 2012 dans le Restigouche. D’ailleurs, en 2014, Le Royal remporte le Prix d’Excellence en Affaires de la Chambre de commerce du Grand Bathurst (CCGB).

Une équipe dévouée auprès des aînés

C’est l’humain qui prime dans leur gestion du travail au sein des résidences et M. Chassé estime qu’ils ont été précurseurs, surtout au niveau des soins.

« Nous sommes fiers du chemin parcouru. Nous savons, en regardant derrière nous, que nous avons accompli un tas de choses grâce à une équipe dévouée au bien-être des gens. »

Dany Chassé et ses associés regardent également vers l’avant avec l’intention d’accomplir encore de grandes choses.

« Nous sommes des gars de cœur, on a une autre façon de penser. Oui, il y a une économie derrière tout ça, mais c’est d’abord et avant tout l’humain qui nous préoccupe ».

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